(...) Par contre, les paysages apparaissent nombreux et ne sont pas tous de simples tâches de couleurs, comme le Jardin Sauvage de Bonnard. Il y a plus qu'une impression dans les vigoureuses peintures rapportées de sa belle Provence par Seyssaud, dans celles, aussi, de Charreton, de Le Bail, de Charlot, de René Just, de Madeline, de P.-E. Colin, de Peské, de Le Beau, de La Villéon, de Wilder. de Le Petit, d'Urbain, de Marcel Gaillard, de Girieud, de Maxime Maufra, dont la rétrospective porte aussi son enseignement (....) |