| (...) C'était, l'autre matin, un beau spectacle que de voir André Dunoyer de Segonzac, dans la rumeur des coups de marteau dont retentissait le Grand Palais, agencer au long des murs ce grand nu de Renoir, ce Gauguin plein de mystère, et cette Suzanne qui ne dort peut-être que d'un oeil, tandis que, par la baie toute proche, la lorgne un moine qui ressemble très fort à Girieud. (....)
Cette négresse, rigide comme un sphinx, allongée sur ces léopards, Girieud (que nous avons vu moine tout à l'heure) l'a modelée dans cette pâte lisse comme un somptueux émail. (...) |