(...)Du bataillon serré des paysagistes, je ne puis retenir que quelques noms, le Salon d'Automne réunissant à peu près toutes les tendances depuis M. Eugène Chigot et M. Madeline, tendres adorateurs de mère nature jusqu'à M. Bouche qui lui impose des violences effroyables ou M. de Waroquier qui s'en amuse avec une volupté exempte de passion, en passant par la verve synthétique d'un Verdilhan, l'idéalisme exaspéré d'un Jeanès, l'austère contemplation d'un Lacoste, la raison un peu froide et rigoureuse d'un Girieud. (...)
Reproduction Vence Ravin p.169 |